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INTERVIEW : Fat White Family — Grosse famille blanche
On est bien contents de vous parler des Fat White Family. Si personne de votre entourage ne l’a fait auparavant, je te suggère, mon ami, de remettre en question ton milieu social. Mauvais te remet les pendules à l’heure. Si tu aimes le crado, l’Angleterre et les bad kids, ça devrait sans doute te plaire.
Ces gars-là se sont formés dans un Squat à Peckham en 2011.
Il serait dommage d’enfermer le groupe dans une définition stricte. Certains diraient que c’est du rock indépendant. Je miserais plus sur un mélange de rock/post-punk/psychédélique/base country/paroles satiriques. Leur cynisme ne peut que nous séduire, avec des clips à rendre fous les vegans. Décorés de quelques porcs pendus, de moustaches d’Hitler et de fesses dansantes…
La grosse famille blanche te fait un feedback du charme reptilien d’Iggy Pop, ça te dit quelque chose ? En plus d’être politiquement incorrects – certains auraient adoré censurer leurs paroles – ils te redonnent l’instinct du pogo. Cette bonne grosse beuverie en famille te rend aussi mal à l’aise que jovial.
Je les ai vus 3 fois en concert (lalala) : aucune déception. Rituel des concerts : une bouteille de rouge et, parfois (pour ne pas dire souvent), le cul à l’air. J’avoue ne pas avoir eu à me plaindre.
— encore merci à La Salopette et Dour festival —
Photo copyright Justine Maurer
INTERVIEW : Fat White Family — Grosse famille blanche
Avr 2017