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ABRAXAS Release Party @Le Macumba

Jeudi 26 janvier 2017, résolument un concert du Turfu.

 

 

Armée de ma GoPro prêtée pour l’occasion, d’une bonne dose de bonnes vibes et de mes deux copines les plus « cools » (oui oui) je me dirige vers le Macumba. Comme la chanson ? Oui mais… laquelle ?

 

Aucune assurément. À l’allure d’une ancienne cité maya ou égyptienne, le night club le plus chelou de Paris se niche dans les sous-sols du 130 rue de Rivoli. Faut pas être trop tripé en-dessous au risque d’y rester coincé.

 

Forcément déjà en retard, c’est par la ruse et la manipulation (le coup du photographe voulant juste prendre une photo accompagné des yeux de biche) qu’on se glisse une bien maigre place au premier rang. Le dance floor ne peut se contenir, mes copains tombent un par un sous les aléas de la foule. L’ambiance est chaude, on étouffe et se déshabille. Les waves disco, ça brûle.

 

 

 

 

Abraxas me semblait déjà comme un nom familier. En effet…

Croisé au détour d’un concert au Klub en 2010 (ce qui ne nous rajeunit pas…), je me demande dans quel multi-univers le groupe s’est aventuré entre temps.

En guise d’explication j’apprends que, terrés dans leur studio en grosse composition, les mecs ont trouvé le secret de la téléportation. Ils ont alors profité de l’occas’ pour aller faire une tournée d’un an en Colombie. Normal quoi.

(Indice : le bronzage paillette irréprochable)

 

 

 

(c) Adèle Colonna Cesari (via la glitchy GoPro)

 

 

J’aurais aimé vous conter le concert visuellement mais le résultat me fait découvrir un nouveau mot : le glitch. What’s that ? On s’excuse par avance aux plus geeks d’entre vous pour cette définition Wikipedia…

 

“Un glitch est une défaillance électronique ou électrique qui correspond à une fluctuation dans les circuits électroniques ou à une coupure de courant (une interruption dans l’alimentation électrique), ce qui entraîne un dysfonctionnement du matériel informatique (hardware) et occasionne à son tour des répercussions sur les logiciels (software).” 

 

Grosso merdo, voilà l’état dans lequel se trouve ma caméra et moi-même. Un état de défaillance pas facile à décrire. À gauche, les sons électroniques du clavier se mêlent aux sons plus conventio…non. La basse ressort funky et groovy, la batterie fait son taf et Tino, le chanteur/ guitariste nous fait glitcher. Ouais, ok j’arrête.

 

Ça flotte, on nage. Un bain résolument disco-pop. Voir un jacuzzi parce que franchement, c’est hot.

 

 

(c) JULIE OONA
www.julieoona.com // www.facebook.com/Julie-Oona

 

 

Fin du concert : le public monte sur scène, les citrons –emblème du groupe– s’échangent en l’air en aller retour entre la scène et la salle, Tino se lâche. Bordel extrême. On oublie la pop et le disco pour un moment fortement ensorcelant.

 

Pour essayer de comprendre le délire de ce groupe carrément barré; MAUVAIS est allé a leur rencontre, vite fait. Tu viens voir ? Parce que sérieux, nous, on n’a pas tout pigé.

 

 

 

 

Pour plus d’infos démerdez-vous avec eux, on a tout essayé.

 

 

 

 

Leur nouveau clip, réalisé par Clement Metayer (BIGUP).

 

 

 

ABRAXAS Release Party @Le Macumba

Fév 2017

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